George Clooney révèle à un média américain pourquoi il préfère élever ses enfants dans le Var plutôt qu’à Los Angeles

Un acteur célèbre choisit la discrétion familiale et renforce des priorités simples dans le Var

Un choix privé devient un signal public. George Clooney assume une préférence claire et, surtout, durable. Loin des projecteurs, la décision prend sens, car elle vise le bien de sa famille. Le contraste entre le Var et Los Angeles s’impose, sans détails superflus. La promesse reste simple : préserver l’enfance, protéger le quotidien, garder une vraie mesure. Le cap est posé, le ton demeure serein.

Pourquoi George Clooney mise sur une vie plus simple

Un portrait et une interview paraissent dans Esquire, ce lundi 6 octobre. La star de Hollywood y expose une décision mûrie. Élever les enfants à Brignoles plutôt qu’à Los Angeles, voilà la ligne adoptée. La justification reste nette, confie George Clooney, pour un cadre stable et cohérent.

Comme l’explique nicematin.com, le couple choisit un ancrage concret : le domaine viticole de Canadel. Acquis en 2021 pour 7,9 millions d’euros, il sert de base. Là vivent l’avocate libano-britannique Amal Alamuddin, l’acteur et les jumeaux. Ella et Alexander, 8 ans, grandissent avec repères simples et journées régulières.

Le souvenir d’enfance sert de miroir. Élevé à la campagne, dans le Kentucky, il disait ce cadre « insupportable ». Pourtant, face au tourbillon hollywoodien promis aux siens, l’option rurale s’impose. L’exil apparaît moins comme une fuite que comme un réglage fin, pensé pour l’équilibre de chacun.

Ce que le Var change pour George Clooney et les siens

Le risque identifié reste concret : une enfance sous vitrine, sans vrai répit. À Los Angeles, la lumière ne baisse jamais, car l’exposition impose son rythme. Il redoutait que ses enfants « n’aient jamais droit à une vie normale ». Cette perspective pèse, donc elle oriente des décisions fermes.

En France, la notoriété pèse moins, et cela change tout. Dans le Var, les jumeaux échappent aux paparazzis et aux comparaisons faciles avec d’autres « enfants de stars ». La vie redevient un cadre, non un décor. Le regard extérieur existe, mais il n’absorbe plus l’identité des plus jeunes.

Pour George Clooney, cette différence tangible l’emporte sur tout palmarès. Le choix privilégie l’intimité, mais aussi la mesure du temps. Chacun retrouve une marche plus humaine, avec des liens plus posés. Le but n’est pas l’isolement, car la famille reste ouverte, toutefois elle fixe ses frontières utiles.

Rituels simples, éducation claire et rythme apaisé

La journée s’organise sans écran envahissant. Les jumeaux ne sont pas sur leurs iPads, car des habitudes actives s’installent. Les repas rassemblent, les échanges structurent, la curiosité avance. L’énergie se déplace vers gestes concrets ; l’enfance gagne en texture, tandis que les parents gardent une présence lisible.

Le soir, tout le monde se réunit à table avec les adultes, attention partagée. Les enfants parlent, puis ils écoutent, ce qui nourrit la confiance. Ensuite, ils débarrassent, ce qui inscrit la responsabilité dans des gestes quotidiens. Rien d’extraordinaire, pourtant tout se joue ici, grâce à la constance.

Ce cadre simple nourrit une ambition discrète : grandir sans pression inutile. La France offre, selon lui, « une vie bien meilleure » que celle promise aux États-Unis. L’idée n’oppose pas deux mondes, elle classe des priorités. Cette hiérarchie rassure, affirme George Clooney, et elle tient dans les faits.

Un choix assumé qui éclaire un modèle familial

Ce récit tient en une logique claire : préserver l’enfance, cadrer la visibilité, renforcer les liens. Le Var sert d’outil, Los Angeles reste une référence, mais secondaire. Le temps, la discrétion, puis l’éducation posent la base commune. En posant ces repères, George Clooney signe une décision stable, qui relie convictions et pratiques, sans grandiloquence. Le message tient, simple et ferme, parce qu’il s’éprouve chaque jour.