Ces 3 yaourts sont déconseillés par le Dr Jimmy Mohamed – voici la meilleure option

Le médecin pointe trois pièges sucrés et propose une option simple pour le dessert chaque jour

Au dessert, le bon choix n’est pas toujours celui qu’on imagine. Un médecin très suivi explique pourquoi trois références posent problème, puis suggère un réflexe plus sûr. Les promesses marketing séduisent, pourtant elles masquent parfois l’essentiel. Pour rester lucide, gardez un repère simple autour des yaourts et adoptez une sélection claire, sans compliquer votre routine.

Pourquoi certains yaourts ne sont pas un bon réflexe

En France, huit personnes sur dix en consomment régulièrement, selon le baromètre du CNIEL. Le PNNS recommande deux produits laitiers par jour pour l’adulte, trois pour l’enfant, selon femmeactuelle.fr. Le volume paraît rassurant, car la routine structure les repas, cependant la qualité des choix change tout.

Dans Le Mag de la Santé sur France 5, le Dr Jimmy Mohamed dit qu’il “ne consomme jamais” trois références. Premier piège, les yaourts à boire. Pour 100 ml, on atteint environ 10 g de sucre, soit une teneur comparable à un cola. Résultat, l’emballage promet du calcium, alors que la bouteille ressemble à un soda.

Le marketing vante l’absence de colorants, pourtant l’essentiel reste le sucre. Le médecin résume le problème avec une formule parlante : c’est surtout du lait avec beaucoup de sucre. En septembre, il alertait déjà sur les boissons énergisantes chez les jeunes, car l’excès sucré favorise de mauvais réflexes. Mieux vaut viser des yaourts simples.

Trois pièges fréquents autour des yaourts du quotidien

Autre famille trompeuse, les mousses liégeoises. La liste d’ingrédients grimpe vers une vingtaine d’entrées. Le médecin juge cela inacceptable, car la complexité cache souvent additifs et textures artificielles; les carraghénanes, épaississants courants, sont associés à un risque accru de diabète de type 2 selon certaines données, précise-t-il.

Viennent ensuite les crèmes desserts chocolatées. On y trouve plus d’une dizaine d’ingrédients et environ 20 g de sucre par pot, soit trois morceaux. Le produit devient ultra-transformé, tandis que la ligne nutritionnelle se dégrade. L’idée du “petit plaisir” dérape, car la portion semble raisonnable, alors que le sucre explose.

Le bon réflexe consiste à lire la liste, car elle révèle immédiatement la nature du produit. Plus elle s’allonge, plus le risque d’ultra-transformation grandit. Dans ce contexte, viser des recettes courtes simplifie le choix. L’étiquette devient un guide pratique pour replacer les yaourts dans une logique santé cohérente.

Choisir malin au quotidien selon le Dr Jimmy Mohamed

Le médecin conseille d’aller vers le plus simple : yaourt grec nature, skyr, ou petits-suisses. Ces options apportent des protéines, tout en restant modestes en sucre et en matières grasses. Il souligne que les petits-suisses sont souvent les meilleurs, car ils combinent satiété, prix accessible et goût.

L’assiette gagne en équilibre quand on reste sur ces bases. On peut ajouter une cuillère de miel ou un peu de confiture, car la maîtrise se joue sur la dose. Pour les enfants, il recommande aussi les compotes, tant que l’emballage affiche clairement “sans sucre ajouté”. Le geste reste sucré, pourtant la liste reste courte.

Ce cap marche au quotidien, car il réduit les excès sans ôter le plaisir. Le repère tient en une phrase : produits simples, portions mesurées, lecture attentive des étiquettes. Vous conservez le dessert, tout en améliorant l’apport nutritionnel. Ainsi, les yaourts retrouvent leur place, sans piège caché, dans une routine plus saine.

Un choix simple qui améliore durablement vos habitudes laitières

Vous gagnez à privilégier des recettes courtes, car elles limitent sucre ajouté et additifs. Lisez l’étiquette, puis comparez la liste et la portion, car ces repères guident vraiment. Les conseils du Dr Jimmy Mohamed vous aident à trier vite, tandis que vous gardez le plaisir et réservez les yaourts simples pour le quotidien.